2019
Les photos et le film de l'épave
La tranchée des Poncifs

Les Français ne pensaient qu'à la revanche ; les poilus sont partis la fleur au fusil ; les offensives n'ont servi à rien ; les gaz de combat ont été la plus meurtière des armes ; les poilus ont été envoyés ivres à l'abattoir ; les civils ont été épargnés ; la Marine n'a rien fait ; les tirailleurs sénégalais ont été sacrifiés pour sauver les Français ; les généraux étaient des planqués ; les Américains ont gagné la guerre ; les chars de combat ont permis la victoire ; l'humiliation de l'Allemagne a provoqué la Seconde Guerre mondiale... Autant d'idées reçues à propos de la Première Guerre mondiale qui ont la vie dure !
Dans cet essai stimulant, le général Elrick Irastorza descend dans cette "tranchée des poncifs" pour combattre ces mythes, ces contre-vérités et ces "fake news" de la Grande Guerre.
Saint-cyrien, Elrick Irastorza fait carrière dans les troupes de marine avant d’être nommé général d’armée et d’occuper les fonctions de chef d’état-major de l’armée de terre de 2008 à 2011. Après une brillante carrière militaire qui lui vaudra d’être élevé à la dignité de grand officier de la Légion d'honneur, il devient président de la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale.
Une nouvelle directrice générale pour l’ONACVG
@ministère des Armées
Véronique Peaucelle-Delelis succède à Rose-Marie Antoine à la tête de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre. Cette haute fonctionnaire a effectué sa carrière au sein du ministère de la Défense puis des Armées. Spécialiste des ressources humaines et de la modernisation de l’action publique, elle était depuis janvier 2018, chargée du Plan d’accompagnement des familles. Elle est l’épouse du diplomate Jean-Christophe Peaucelle qui fut, notamment, ambassadeur au Qatar (2011-2014). Tous deux sont énarques (promotion Fernand Braudel).
Inauguration le MERCREDI 5 juin 2019 à 11 heures d'une Stèle en souvenir de l'EAI
Disparition du général Jean Delaunay
jeudi 9 mai 2019
65e anniversaire de la chute de Diên Biên Phù
mardi 7 mai 2019
Le 7 mai 1954, après 56 jours de combats, Diên Biên Phù tombe sous les assauts du Viêt-Minh. 1 700 soldats français et légionnaires étrangers sont morts dans la bataille, 1400 ont disparu et 70% des 10 000 prisonniers ont péri dans les mois qui ont suivi la chute du camp. A 17h, ce 7 mai, le général de Castries qui commande à Diên Biên Phù (nommé général au cours de la bataille) s’entretient par téléphone avec son supérieur, le général Cogny, commandant en chef au Tonkin (selon la transcription officielle de la conversation).
- Castries : "La situation est extrêmement grave. Les combats sont confus et se livrent partout. Je sens que la fin approche mais nous nous battrons jusqu’au bout."
- Cogny : "Bien compris. Vous vous battrez jusqu’à la fin. Pas question de hisser le drapeau banc…"
- Castries : "Bien compris. Nous détruirons les canons et tout le matériel radio. Le poste radio des courants porteurs sera détruit à 17h30 et nous nous battrons jusqu’au bout… "
La Maison du légionnaire
60 pages – plus de 120 illustrations exclusive
La Maison du légionnaire
Honneur – Fidélité – Solidarité
Format album 35 x 25 cm – 60 pages – plus de 120 illustrations exclusive
Histoire de la Maison du Légionnaire
De la création à nos jours – Moments clefs – Devenir pensionnaire.
Imaginée au début des années 1930, la Maison du légionnaire a été inaugurée le 8 juillet 1934 par le général Rollet,
Inspecteur de la Légion étrangère, venue tout spécialement d’Algérie pour l’occasion. Aujourd’hui, et toujours grâce à ses nombreux soutiens, elle poursuit son œuvre social comme au premier jour. En fait, depuis 1934, rien n’a changé.
Ou presque.
Quelle bonne idée que cet ouvrage. Je rends hommage au lieutenant-colonel SABLJIC d’avoir porté ce projet ainsi qu’à ceux qui l’ont soutenu. Certains y verront un outil de communication et d’autres la trace qu’il fallait enfin laisser pour raconter la Maison du légionnaire d’Auriol. Mais c’est surtout un album de famille.
Général de brigade Denis Mistral, Commandant la Légion étrangère
En vente exclusive par la Maison du légionnaire
Sur place au Domaine de Vède à Auriol (13)
Par voie postale :
Ecrivez-nous à la Maison du légionnaire, 68 chemin de Vède, 13390 Auriol
25 euros + 5 euros frais de port – Chèque à l’ordre de « La Maison du Légionnaire »
Par Internet : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
Prix 25 euros.
Tous les bénéfices réalisés par la vente de cet ouvrage sont reversés au profit de l’action sociale de la Maison du légionnaire.
sur la photo de groupe suivante... Le 8 juillet 1934 à la Maison du légionnaire. De part et d’autre du général Rollet : Elie Rambaud, directeur fondateur, et Madame. A la fin de sa visite, le Père de la Légion se réjouit : « j’avais vu de belles photographies mais je m’en méfiait. Un artiste leur a fait rendre tout ce qu’il veut. Ce que je viens de voir est mieux que des photographies. Ces installations, ce confort, ce site sont admirable. Je suis plus heureux que vous tous ».
Fond iconographique de la Maison du légionnaire.